Grâce à ces ponts, les animaux peuvent traverser les axes routiers.

Face aux passages à faune qui se multiplient, il fallait prendre des mesures. Les défenseurs de la nature n’ont pas attendu pour développer des méthodes de protection de la vie sauvage des axes routiers. L’une des principales idées fut la construction des ponts végétaux enjambant les routes fréquentées par les animaux. Ils leur permettent de traverser en toute sécurité.

L’année 50 a vu naître les premiers écoducs en France. Et petit à petit, l’idée gagna l’Europe. Au Pays-Bas par exemple, on peut découvrir le plus long écoduc du monde, avec plus de 66 passages à faune. C’est le Natuurbrug Zanderij Crailoo, long de 2000m. Ce dernier traverse un chemin de fer, un complexe sportif, une rivière et un parc d’entreprise.

Le Canada ainsi que les USA ont également expérimenté ces ponts afin d’assurer la protection de leur faune très riche. L’objectif étant de séparer les espèces sauvages par un aménagement humain adapté, leur permettant de se déplacer et de répondre à leurs besoins de migration. Les ponts verts sont autant réservés aux grands mammifères qu’aux petits (écureuils, crabes de l’île Christmas, tortues du Japon, etc). Chacun peut emprunter le pont ou le tunnel adapté.

Dans le diaporama ci-dessous, découvrez ces ponts verdoyants qui ont également pour vocation la protection de notre écosystème.

5. Pont vert

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6. Pont vert

7. Pont vert

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